Journal d’un presque confiné (J+7)
Deuxième samedi en presque confinement.
Ce matin, j’ai fait quelques courses pour le dîner. Certains rayons sont encore vides, d’autres non. Si vous voulez du papier essuie-tout, pas de soucis. Par contre, toujours un soucis d’approvisionnement pour le papier WC.
Pas d’hystérie de la part des gens présents. Pas de bousculades, rien...
Je m’interroge quand même en lisant certains articles. Je n’ai pas réussi à recouper l’information mais il semblerait que la pénurie de certains articles pourrait provenir d’acheteurs peu scrupuleux. Tellement peu scrupuleux qu’ils revendraient ces articles dans leurs magasins à prix d’or. Est-ce vrai ? Je ne sais pas... Je n’ai pas vu cela moi-même. Si cela était exact, cela prouverait bien la locution latine: « Homo homini lupus ».
Mais à côté de cela, je vois tellement de bonnes volontés: bénévoles qui font les courses pour les personnes en ayant besoin, volontaires qui cousent des masques pour dépanner,... Ça fait chaud au cœur.
Bonne nouvelle, l’antibiotique fait son effet, l’otite ne fait plus aussi mal. On a pu se passer de donner du perdolan. Pour le reste, nous continuons notre petite vie pas si moche que ça au final... Nous sommes encore ensemble, sans malade grave. Croisons les doigts pour que cela dure.
Ce matin, j’ai fait quelques courses pour le dîner. Certains rayons sont encore vides, d’autres non. Si vous voulez du papier essuie-tout, pas de soucis. Par contre, toujours un soucis d’approvisionnement pour le papier WC.
Pas d’hystérie de la part des gens présents. Pas de bousculades, rien...
Je m’interroge quand même en lisant certains articles. Je n’ai pas réussi à recouper l’information mais il semblerait que la pénurie de certains articles pourrait provenir d’acheteurs peu scrupuleux. Tellement peu scrupuleux qu’ils revendraient ces articles dans leurs magasins à prix d’or. Est-ce vrai ? Je ne sais pas... Je n’ai pas vu cela moi-même. Si cela était exact, cela prouverait bien la locution latine: « Homo homini lupus ».
Mais à côté de cela, je vois tellement de bonnes volontés: bénévoles qui font les courses pour les personnes en ayant besoin, volontaires qui cousent des masques pour dépanner,... Ça fait chaud au cœur.
Bonne nouvelle, l’antibiotique fait son effet, l’otite ne fait plus aussi mal. On a pu se passer de donner du perdolan. Pour le reste, nous continuons notre petite vie pas si moche que ça au final... Nous sommes encore ensemble, sans malade grave. Croisons les doigts pour que cela dure.